#Diplomatie 🇹🇬🇫🇷🇨🇭🇪🇺
#PrésidenceTogolaise
16/10/2020
Trois nouveaux ambassadeurs ont présenté ce 16 octobre 2020 leurs lettres de créance au chef de l'Etat SEM Faure Gnassingbé. Il s’agit des ambassadeurs de l'Union Européenne, de la France et de la Suisse.
Chacun des diplomates promet œuvrer pour le renforcement de la coopération entre leurs pays et le Togo.
Les détails dans la vidéo ci-dessous
#PrésidenceTogolaise
16/10/2020
Trois nouveaux ambassadeurs ont présenté ce 16 octobre 2020 leurs lettres de créance au chef de l'Etat SEM Faure Gnassingbé. Il s’agit des ambassadeurs de l'Union Européenne, de la France et de la Suisse.
Chacun des diplomates promet œuvrer pour le renforcement de la coopération entre leurs pays et le Togo.
Les détails dans la vidéo ci-dessous
Le Président de la République SEM Faure Essozimna Gnassingbé a reçu les lettres de créances des nouveaux ambassadeurs de L'Union Européenne, de la France et de la Suisse ce 16 octobre 2020 au palais présidentiel.
Au sortir des échanges avec le Chef de l'État, ces diplomates ont manifesté le souhait de renforcer la coopération entre leurs pays respectifs et le Togo
Retrouvez quelques extraits de leurs déclarations
#Diplomatie 🇹🇬🇫🇷🇨🇭🇪🇺
Au sortir des échanges avec le Chef de l'État, ces diplomates ont manifesté le souhait de renforcer la coopération entre leurs pays respectifs et le Togo
Retrouvez quelques extraits de leurs déclarations
#Diplomatie 🇹🇬🇫🇷🇨🇭🇪🇺
#PresidenceTg 🇹🇬🇹🇬
#DéveloppementRural
#FIDA
Le Chef de l'État SEM Faure E. Gnassingbé a lancé avec ses homologues africains, un vibrant appel aux dirigeants du monde à accroître le financement en faveur du FIDA.
Le FIDA œuvre pour l'élimination de la faim et de la pauvreté en milieu rural. Il accompagne le Togo dans sa politique d’autonomisation des populations rurales, à travers le MIFA et le PNPER.
#DéveloppementRural
#FIDA
Le Chef de l'État SEM Faure E. Gnassingbé a lancé avec ses homologues africains, un vibrant appel aux dirigeants du monde à accroître le financement en faveur du FIDA.
Le FIDA œuvre pour l'élimination de la faim et de la pauvreté en milieu rural. Il accompagne le Togo dans sa politique d’autonomisation des populations rurales, à travers le MIFA et le PNPER.
La promotion du leadership féminin porte ses fruits au Togo
Aussi loin qu’on s’en souvienne, les femmes sont persécutées par des préjugés qui déprécient leurs rôles pourtant indispensables dans une société. D’aucuns estiment qu’elles doivent se cramponner au foyer et jouer les seconds rôles ; pour d’autres, les mêmes droits qu’aux hommes ne peuvent et ne doivent pas leur être accordés. Au fil des années, cette appréhension a perdu du crédit grâce à une kyrielle d’actions destinées à promouvoir la gent féminine, pierre angulaire du développement. Au Togo, la liberté de décision, d’implication dans les affaires publiques, d’avoir les mêmes privilèges ou droits, de bénéficier d’aide pour une autonomisation, etc. lui est garantie. Le nombre de femmes occupant des postes à responsabilité élevée dans la sphère politique, longtemps restée le terrain de prédilection des hommes, en est une preuve irréversible.
Au début du mois d’octobre 2020, Victoire Tomegah Dogbé a été portée à la tête du nouveau gouvernement formé pour multiplier les enjambées vers l’émergence à l’horizon 2025. Cette nomination, historique dans la mesure où aucune femme n’a été Premier ministre avant elle, prouve que les pouvoirs publics togolais veulent briser les barrières, donner carte blanche aux femmes, faciliter leur épanouissement et aiguillonner les jeunes filles à leur emboîter le pas. Le premier grand coup d’essai des dirigeants s’est ensuite révélé être un coup de maître. Yawa Tsègan, députée du parti au pouvoir, a été portée en début d’année 2020, au perchoir de l’Assemblée nationale, faisant d’elle la première femme à occuper cette haute fonction au Togo ; elle l’assume avec brio.
Les femmes en avant, les préjugés en arrière
Le présent gouvernement compte 10 femmes sur 33 membres, les ministres délégués et rattachés à la présidence inclus. Il y a entre autres Marguerite Gnakadè (ministre des Armées), Myriam de Souza-D’Almeida (ministre du Développement à la base), Cina Lawson (ministre de l’Economie numérique et de la Transformation digitale), Adjovi Lonlongno Apedoh (ministre de l’Action sociale, de la Promotion de la femme et de l’alphabétisation), Ablamba Johnson (ministre secrétaire général de la présidence), Mazamaesso Assih (ministre chargé de l'Inclusion financière et de l'Organisation du secteur informel), Mawunyo Mila Aziable (ministre délégué auprès du président de la République chargé de l'Energie et des Mines), à seulement 29 ans, etc.
Les femmes et les enjeux du nouveau quinquennat
La promotion de la participation citoyenne, de l’entrepreneuriat, de l’autonomisation et de l’inclusion des femmes fait partie intégrante des engagements du chef de l’Etat. La proportion des femmes propriétaires d’entreprises, évaluée aujourd’hui à plus de 22%, montera à 28% ; celle des femmes ayant accès au crédit, estimée actuellement à 45%, sera portée à 60%. Le Fonds national de la finance inclusive (FNFI) octroie des crédits allant jusqu’à 05 millions de francs CFA aux femmes sans oublier l’initiative présidentielle de réservation du quota de 25% de marchés publics aux femmes entrepreneures qui porte ses fruits.
Aider les femmes, c’est prendre soin d’elles
Le président de la République a annoncé la construction de 06 centres de santé mère-enfant sur le territoire, avec le doublement du nombre d’accoucheuses auxiliaires d’Etat ; la gratuité du vaccin contre l’hépatite B et le cancer du col de l’utérus ; la césarienne (déjà subventionnée à 98% par l’Etat) sera totalement gratuite ainsi que la prise en charge des femmes enceintes dans le pays.
Aussi loin qu’on s’en souvienne, les femmes sont persécutées par des préjugés qui déprécient leurs rôles pourtant indispensables dans une société. D’aucuns estiment qu’elles doivent se cramponner au foyer et jouer les seconds rôles ; pour d’autres, les mêmes droits qu’aux hommes ne peuvent et ne doivent pas leur être accordés. Au fil des années, cette appréhension a perdu du crédit grâce à une kyrielle d’actions destinées à promouvoir la gent féminine, pierre angulaire du développement. Au Togo, la liberté de décision, d’implication dans les affaires publiques, d’avoir les mêmes privilèges ou droits, de bénéficier d’aide pour une autonomisation, etc. lui est garantie. Le nombre de femmes occupant des postes à responsabilité élevée dans la sphère politique, longtemps restée le terrain de prédilection des hommes, en est une preuve irréversible.
Au début du mois d’octobre 2020, Victoire Tomegah Dogbé a été portée à la tête du nouveau gouvernement formé pour multiplier les enjambées vers l’émergence à l’horizon 2025. Cette nomination, historique dans la mesure où aucune femme n’a été Premier ministre avant elle, prouve que les pouvoirs publics togolais veulent briser les barrières, donner carte blanche aux femmes, faciliter leur épanouissement et aiguillonner les jeunes filles à leur emboîter le pas. Le premier grand coup d’essai des dirigeants s’est ensuite révélé être un coup de maître. Yawa Tsègan, députée du parti au pouvoir, a été portée en début d’année 2020, au perchoir de l’Assemblée nationale, faisant d’elle la première femme à occuper cette haute fonction au Togo ; elle l’assume avec brio.
Les femmes en avant, les préjugés en arrière
Le présent gouvernement compte 10 femmes sur 33 membres, les ministres délégués et rattachés à la présidence inclus. Il y a entre autres Marguerite Gnakadè (ministre des Armées), Myriam de Souza-D’Almeida (ministre du Développement à la base), Cina Lawson (ministre de l’Economie numérique et de la Transformation digitale), Adjovi Lonlongno Apedoh (ministre de l’Action sociale, de la Promotion de la femme et de l’alphabétisation), Ablamba Johnson (ministre secrétaire général de la présidence), Mazamaesso Assih (ministre chargé de l'Inclusion financière et de l'Organisation du secteur informel), Mawunyo Mila Aziable (ministre délégué auprès du président de la République chargé de l'Energie et des Mines), à seulement 29 ans, etc.
Les femmes et les enjeux du nouveau quinquennat
La promotion de la participation citoyenne, de l’entrepreneuriat, de l’autonomisation et de l’inclusion des femmes fait partie intégrante des engagements du chef de l’Etat. La proportion des femmes propriétaires d’entreprises, évaluée aujourd’hui à plus de 22%, montera à 28% ; celle des femmes ayant accès au crédit, estimée actuellement à 45%, sera portée à 60%. Le Fonds national de la finance inclusive (FNFI) octroie des crédits allant jusqu’à 05 millions de francs CFA aux femmes sans oublier l’initiative présidentielle de réservation du quota de 25% de marchés publics aux femmes entrepreneures qui porte ses fruits.
Aider les femmes, c’est prendre soin d’elles
Le président de la République a annoncé la construction de 06 centres de santé mère-enfant sur le territoire, avec le doublement du nombre d’accoucheuses auxiliaires d’Etat ; la gratuité du vaccin contre l’hépatite B et le cancer du col de l’utérus ; la césarienne (déjà subventionnée à 98% par l’Etat) sera totalement gratuite ainsi que la prise en charge des femmes enceintes dans le pays.
Sur le plan agricole, l’objectif est de porter la proportion des femmes salariées agricoles de 58,11% à 80% en leur réservant un quota de 30% de la superficie de chaque Zone d’aménagements agricoles planifiée (Zaap) ; en organisant 50 000 d’entre elles dans les opérations de transformation, conditionnement et commercialisation des produits agricoles ; en renforçant les mécanismes existants d’accompagnement des initiatives économiques des femmes ; en opérationnalisant pour elles des centres de gestion agréés dans toutes les régions…
La gent féminine est fortement mise en valeur au Togo. Pour preuve, beaucoup de femmes s’affirment au sein de l’opinion publique comme de véritables leaders, des influenceuses, des figures de proue des partis politiques, des ONG ou des mouvements syndicaux, des modèles à suivre par la jeune génération.
La gent féminine est fortement mise en valeur au Togo. Pour preuve, beaucoup de femmes s’affirment au sein de l’opinion publique comme de véritables leaders, des influenceuses, des figures de proue des partis politiques, des ONG ou des mouvements syndicaux, des modèles à suivre par la jeune génération.
Le Togo gagne 18 places sur l’indice de liberté économique.
En matière de liberté économique, le Togo voit son score passé de 50, 3 à 54,1, ce qui fait de l’économie togolaise la 140 ème économie la plus libre dans l’indice 2020 contre 158 ème en 2019. Le pays gagne ainsi 18 places. Le score global du Togo a augmenté de 3,8 points en raison d’une meilleure performance en matière de politique budgétaire et de l’amélioration de l’environnement des affaires notamment les droits de propriété. Le pays confirme ainsi sa dynamique d’amélioration des libertés économiques entreprises ces dernières années.
L’indice de liberté économique est régulièrement publié par le think tank américain « The Heritage Foundation » dans la dynamique de permettre aux Etats de garantir la liberté économique, un droit fondamental de tout être humain à contrôler son propre travail et ses biens.
Ainsi dans une société économiquement libre, les individus sont libres de travailler, de produire, de consommer et d’investir comme bon leur semble. Les gouvernements sont appelés à assurer la libre circulation de la main d’œuvre, des capitaux, des biens et s’abstiennent de toute contrainte ou coercition sur la liberté au-delà de ce qui est nécessaire pour protéger et maintenir la liberté elle-même.
L’indice de liberté économique, indicateur du degré d’ouverture d’une économie aux investissements ou aux échanges mondiaux est déterminé sur la base de 12 facteurs quantitatifs et qualitatifs, regroupés en quatre grandes catégories, ou piliers, de liberté économique. Ces facteurs sont :
- Etat de droit (droits de propriété, intégrité du gouvernement, efficacité du système judiciaire)
- Prépondérance du gouvernement (dépenses publiques, charge fiscale, fiscalité)
- Efficacité réglementaire (liberté des entreprises, liberté du travail, liberté monétaire)
- Ouverture des marchés (liberté commerciale, liberté d’investissement, liberté financière)
Chacune des douze libertés économiques de ces catégories est classée sur une échelle de 0 à 100. Le score global d’un pays est obtenu en faisant la moyenne de ces douze libertés économiques, en accordant le même à chacune d’entre elles.
En Afrique subsaharienne, parmi les pays ayant amélioré leurs scores, le Togo a enregistré à la fois la forte amélioration de son score et de son rang dans l’indice 2020. Cette évaluation de la liberté économique révèle en gros qu’en matière de l’Etat de droit, les droits de propriété et les intérêts sont respectés. De même que le pouvoir judiciaire est constitutionnellement indépendant. Autres améliorations, le taux d’imposition sur les sociétés qui passe à 27%, l’assainissement des finances publiques et les facilités en matière de création d’emplois.
Les résultats encourageants que le Togo continuent d’enregistrer ne doivent étonner guère ceux qui suivent l’évolution du pays. Ces dernières année, le pays a opté pour une politique rigoureuse de réformes en profondeur de son économie en à la création d’un environnement favorable aux affaires.
En matière de liberté économique, le Togo voit son score passé de 50, 3 à 54,1, ce qui fait de l’économie togolaise la 140 ème économie la plus libre dans l’indice 2020 contre 158 ème en 2019. Le pays gagne ainsi 18 places. Le score global du Togo a augmenté de 3,8 points en raison d’une meilleure performance en matière de politique budgétaire et de l’amélioration de l’environnement des affaires notamment les droits de propriété. Le pays confirme ainsi sa dynamique d’amélioration des libertés économiques entreprises ces dernières années.
L’indice de liberté économique est régulièrement publié par le think tank américain « The Heritage Foundation » dans la dynamique de permettre aux Etats de garantir la liberté économique, un droit fondamental de tout être humain à contrôler son propre travail et ses biens.
Ainsi dans une société économiquement libre, les individus sont libres de travailler, de produire, de consommer et d’investir comme bon leur semble. Les gouvernements sont appelés à assurer la libre circulation de la main d’œuvre, des capitaux, des biens et s’abstiennent de toute contrainte ou coercition sur la liberté au-delà de ce qui est nécessaire pour protéger et maintenir la liberté elle-même.
L’indice de liberté économique, indicateur du degré d’ouverture d’une économie aux investissements ou aux échanges mondiaux est déterminé sur la base de 12 facteurs quantitatifs et qualitatifs, regroupés en quatre grandes catégories, ou piliers, de liberté économique. Ces facteurs sont :
- Etat de droit (droits de propriété, intégrité du gouvernement, efficacité du système judiciaire)
- Prépondérance du gouvernement (dépenses publiques, charge fiscale, fiscalité)
- Efficacité réglementaire (liberté des entreprises, liberté du travail, liberté monétaire)
- Ouverture des marchés (liberté commerciale, liberté d’investissement, liberté financière)
Chacune des douze libertés économiques de ces catégories est classée sur une échelle de 0 à 100. Le score global d’un pays est obtenu en faisant la moyenne de ces douze libertés économiques, en accordant le même à chacune d’entre elles.
En Afrique subsaharienne, parmi les pays ayant amélioré leurs scores, le Togo a enregistré à la fois la forte amélioration de son score et de son rang dans l’indice 2020. Cette évaluation de la liberté économique révèle en gros qu’en matière de l’Etat de droit, les droits de propriété et les intérêts sont respectés. De même que le pouvoir judiciaire est constitutionnellement indépendant. Autres améliorations, le taux d’imposition sur les sociétés qui passe à 27%, l’assainissement des finances publiques et les facilités en matière de création d’emplois.
Les résultats encourageants que le Togo continuent d’enregistrer ne doivent étonner guère ceux qui suivent l’évolution du pays. Ces dernières année, le pays a opté pour une politique rigoureuse de réformes en profondeur de son économie en à la création d’un environnement favorable aux affaires.
C'est avec une vive émotion que j'ai pris part ce jour aux obsèques nationales en hommage à feu Fambaré Ouattara Natchaba.
La République perd un de ses plus grands serviteurs. Brillant professeur de droit, il laisse à jamais, par son engagement sans faille au service de la nation, son empreinte dans l'histoire politique de notre pays.
À toute sa famille je réitère mes condoléances et celles du peuple togolais.
Repose en paix, cher Doyen !
FEG
https://www.facebook.com/1559909144238576/posts/2843091735920304/
La République perd un de ses plus grands serviteurs. Brillant professeur de droit, il laisse à jamais, par son engagement sans faille au service de la nation, son empreinte dans l'histoire politique de notre pays.
À toute sa famille je réitère mes condoléances et celles du peuple togolais.
Repose en paix, cher Doyen !
FEG
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